1ère consultation il y a 10 jours après 5 jours de fièvre intense, maux de tête, symptômes grippaux. Je ressors avec du doliprane et ibupro ce que je prends déjà depuis plusieurs jours au moment de la consultation. 2ème consultation ce jour avec 10 jours de fièvre supplémentaire, maux de gorge intense, toux persistante et fatigue intense, pas d'appétit et deux kilos de moins en une semaine, après deux semaines quasi sans dormir. J'ai bien expliqué tout cela au médecin, y compris le fait qu'aujourd'hui ma collègue de travail était choquée de voir mon état général et s'inquiétait de me voir tomber. Le medecin me prescrit un traitement cette fois, il est vraiment très distant et froid. Je ne me vois pas retourner travailler le lendemain, ce qui est une évidence pour une collègue ne l'est toutefois pas pour ce médecin. Je dois donc demander si je peux être arrêtée, la réponse du médecin est la suivante mot pour mot: "pour quelles raisons ?"... comment dire ? N'a t'il rien écouté ? Croit il que je suis une comédienne ? Se sentir obligée de se justifier alors qu'on est malade à crever depuis des jours, obligée de dire que le dernier arrêt remonte à des années en arrière et avoir en face de soi un médecin totalement silencieux qui ne décrochera plus un mot. Merci pour le moment de gêne, j'étais pas venue pour me sentir ridiculisée mais pour obtenir des soins et une écoute. Deux étoiles tout de même car j'ai finalement un traitement et un arrêt de 2 malheureux jours au forceps. Je poserai des congés pas le choix.